Le cabinet Pascal Bousselet Consultants vient de publier le livre blanc ''L'informatisation des processus QSE dans les entreprises agroalimentaires''.
Qualité, Sécurité, Environnement : des enjeux de plus en plus importants pour les entreprises agroalimentaires !

Avec des réglementations de plus en plus complexes et en perpétuelle évolution, les entreprises agroalimentaires doivent se doter de nouveaux moyens pour répondre aux exigences des instances de contrôles, des clients et des consommateurs.
Les Processus Supports nous apparaît être une réponse adaptée pour gagner en efficacité et en sécurité, tant pour le Management que pour le suivi d'indicateurs quotidiens d'amélioration continue.
''Au départ centre de coût, les ressources informatiques sont devenues centre de valeur''. Pour les besoins en Q.S.E, c'est encore plus vrai. Les outils d'aide à la décision traditionnels ne font que suivre les résultats de l'entreprise, sans améliorer sa compétitivité. De nouvelles applications apparaissent. Elles automatisent les procédures sur un seul processus, modélisable à partir d'une cartographie. Les gains de productivités sont au rendez-vous.
Réalisé par les collaborateurs de Pascal Bousselet Consultants ce Livre Blanc condense notre expérience métier, acquise depuis plus de 15 années d'accompagnement terrain en IAA.
Organisé sous la forme de 30 questions / réponses, ce livre blanc se veut didactique et permet aux non spécialistes comme aux responsables qualité de se poser les bonnes questions avant de se lancer dans une démarche d'informatisation.

Cliquer sur ce lien pour télécharger gratuitement le livre blanc.

PBCSoft, fort d'une expertise en Q.S.E. depuis plus de 15 ans auprès des IAA propose cette nouvelle génération de logiciels ''Processus'' :
- un Progiciel Qualité répondant aux exigences des référentiels IAA,
- un Progiciel Sécurité (fonctionnalités d'EVRP et gestion du Document Unique),
- un Progiciel Environnement (gestion des déchets, réduction d'Impact, Bilan carbone et Eco conception).

Gü sera incontournable sur votre table de Saint Valentin!

La marque anglaise de desserts chocolatés haut de gamme lance une grande campagne de communication à l'occasion de la Saint Valentin.
Outre l'affichage dans les rues parisiennes et la presse, Gü a prévu des opérations de street marketing avec distribution d'échantillons, la création d'un espace fan sur Facebook et le lancement d'un site éphémère : enviedebongu.com.
8 arrondissements parisiens auront même la cahnce de découvrir les brownies Gü qui leur seront distribués!

 

 

Gü a été créée par un Anglais, James Averdick.
Amoureux du chocolat belge, il décide de proposer une gamme de desserts ultra-frais en GMS aussi bons que les produits vendus en pâtisserie.
Entouré d'un chef français et d'une agence de design, Gü est arrivé sur le marché français en 2006.

Rendez-vous sur enviedebongu.com pour vous mettre l'eau à la bouche et découvrir un petit film de présentation de la marque.

 

LU et la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité ont lancé le 7 juillet « Les Champs de Biodiversité », un appel à projets à destination de tous les porteurs d’enjeux sur la biodiversité.

Objectif de cette initiative : soutenir et récompenser les projets innovants permettant de préserver la biodiversité dans les champs de céréales du territoire français.

LU s’est associé à la FRB pour créer le prix « Les Champs de Biodiversité » qui encouragera et financera, dans une enveloppe globale de 100 000 €, des projets innovants conjuguant agriculture productive et respect de la biodiversité.

L’originalité de ces projets : ils doivent être co-construits a minima par un agriculteur pour l’application concrète du projet sur le terrain, et par un acteur du monde de la recherche pour la valorisation scientifique des résultats. L’ensemble des porteurs d’enjeux sur la biodiversité (agriculteurs, coopératives, organismes de recherches, ONG, entreprises…) sont appelés à tenter leur chance jusqu’au 31 décembre 2009 en répondant à cet appel à projets.
3 thématiques ont été retenues dans le cadre du prix « Les Champs de Biodiversité » : la préservation, la réintégration et la valorisation de la biodiversité dans le paysage et les systèmes de production agricoles.

Un jury, composé de collaborateurs de LU et d’experts scientifiques recommandés par la FRB, sélectionnera 3 à 4 lauréats dans le courant du mois de février 2010 selon de nombreux critères tels que son application concrète auprès des agriculteurs ; son caractère novateur, etc.

« Les Champs de Biodiversité » requiert une approche scientifique et partenariale dans laquelle la FRB apportera toute son expertise ainsi que sa connaissance des liens entre agriculture et biodiversité, notamment pour la sélection, le suivi et la valorisation des projets. Les enjeux de la biodiversité étant complexes, ils nécessitent une approche multi acteurs pour renforcer la pertinence des recherches, mieux utiliser l’état des connaissances et accompagner leur mise en œuvre sur le terrain

Pour participer, le dossier de candidature est téléchargeable sur le site de LU France : lu-france.fr rubrique « Nos initiatives », ou sur le site de la FRB fondationbiodiversite.fr

Rendez-vous courant 2010, pour voir concrètement l’application des projets dans les champs !

Lors du Conseil des Ministres de ce mercredi, Pascale Briand a été nommée Directrice Générale de l'ALimentation. Elle remplace à ce poste Jean-Marc Bournigal, nommé directeur général des Politiques Agricole, Alimentaire et des Territoires (DGPAAT).
Elle était directrice générale de l'AFSSA depuis 4 ans.

Communiqué de presse de ADRIA Développement et le LUBEM suite au colloque Spore2009, qui a eu lieu du 15 au 17 juin derniers.

Le colloque international SPORE2009, qui a attiré plus de 130 participants de 27 pays (www.spore2009.org), est un remarquable succès. Le thème des « Bactéries Sporulées dans les Aliments » a suscité un large intérêt, générant une large participation des Industries Agro-Alimentaires et des Industries du Diagnostic (30% des participants), ainsi que la contribution des centres de recherche académique et des centres techniques leaders dans le domaine.
Ainsi, nous étions au maximum des capacités d’accueil, du fait des nombreuses présences! Les communications ont couvert l’ensemble des thèmes relatifs aux bactéries sporulées : biodiversité et prévalence, biologie des systèmes, analyse des risques, outils d’analyse innovants, épidemiologie, altération, flore positive adhésion aux surfaces des équipements, résistance des spores et optimisation des procédés. Le symposium a permis de définir de nouvelles perspectives R&D, de nouvelles stratégies pour mieux contrôler la présence des bactéries sporulées.

Des keynotes ont été réalisées entre autre par des personnalités scientifiques reconnues dans le domaine :
- CARLIN F. (INRA, Fr) : Origin of bacterial spores contaminating foods,

- DE VOS P. (University of Gent, Be) & STACKEBRANDT E. (DSMZ, De) : Recent insights into the phylogeny and systematics of sporeforming Firmicutes,
- ABEE T. (University of Wageningen, Nl) : Germination and outgrowth of Bacillus cereus spores: how to cope with wake up calls in different environments,
- AUGUSTIN JC. (Veterinary School of Maisons-Alfort, Fr): Predictive microbiology and risk assessment of spore-forming bacteria in food,
- LINDSTROM M. (University of Helsinki, Fi): Molecular epidemiology of cpe-positive Clostridium perfringens type A strains,
- PECK M. (Institute of Food Research, UK): Clostridium botulinum and botulism,
- CUTTING S. (Royal Holloway University of London, UK): The use of Bacillus sporeformers as probiotics,
- KOLSTO AB. (University of Oslo, No): Bacillus cereus group: genome plasticity for better adaptation,
- MAFART P. (University of Bretagne Occidentale, Fr): Spore resistance quantification for heat process assessment and optimisation : a never-ending story…
- MEMBRE JM (Unilever Safety and Environmental Assurance centre SEAC, Uk): Industrial applications of strategies to control the risk associated with bacterial heat-resistant spores,
- BRUL S. (Universit. of Amsterdam, Nl): On the origin of heterogeneity in preservation resistance of Bacillus spores; advanced from a ‘systems’ analysis of bacterial spore occurrence and outgrowth.

Des communications ont été sélectionnées pour publication dans une édition spéciale de Food Microbiology (http://www.elsevier.com), qui sera disponible en février 2010. Une référence ISBN est attribuée au Proceedings, dans le but de faciliter le référencement bibliographique.
Les Proceedings sont téléchargeables directement sur site web (merci de contacter info@spore2009.org pour connaître les modalités).
Enfin, les participants à SPORE2009 possèdent un lien personnalisé pour consulter en ligne les présentations.
Dr Rebelo-Lima, chercheur à l’Université de Wageningen (Hollande) a reçu le prix du meilleur poster avec une communication intitulée “Microbota in cocoa beans industrial processing”.

SPORE2009 est un véritable succès, et sera poursuivi par l’organisation de nouveaux colloques portant sur les thématiques d’intérêt en IAA!

Un nouveau partenariat, une nouvelle identité, 3A sas devient Yéo, le challenger innovateur

Mercredi 10 juin, le groupe coopératif toulousain 3A et le groupe basque espagnol Kaiku Corporación Alimentaria inauguraient leur partenariat en présence du Préfet et des élus régionaux.
À cette occasion, les deux entreprises partenaires ont présenté l'identité de leur société commune en dévoilant son nouveau nom : Yéo.
Fortes de leurs complémentarités et des synergies qu’elles vont mettre en oeuvre, les deux entreprises sont parées pour affronter le marché européen.

Yéo : une alliance de savoir-faire complémentaires
Le 10 juin, les groupes 3A et Kaiku Corporación Alimentaria ont officiellement inauguré leur partenariat. En s’alliant, les deux sociétés d’origine coopérative entendent se rassembler autour d’un projet commun, porteur pour les deux entités. Elles bénéficient ainsi des atouts propres à chacune.
Savoir-faire en matière de production, synergies des pôles industriels, commerciaux et recherche et développement ou encore positionnement géographique des outils industriels sur les deux territoires français et espagnol : tous ces sujets sont désormais travaillés en commun. Grâce à cette association, Yéo se pose en véritable opérateur de poids sur le marché des produits frais avec
pour mission de répondre aux attentes des consommateurs avec des produits sains, gourmands et de qualité.
Avec la présence hier soir de Monsieur le Président de Région Martin Malvy, ce projet est soutenu par les collectivités régionales. Rappelons que le groupe 3A est le premier* groupe agroalimentaire régional (* Source : Classement « Top 1400 » 2009 - Entreprises Midi-Pyrénées). Cette coopération franco-espagnole permettra en effet de consolider une activité économique importante pour la région en créant à terme une soixantaine d’emplois.
Pour Jérôme Servières, Directeur Général de Yéo, « ce projet capital pour l’entreprise nous permet d’avoir des plans d’investissements ambitieux sur le site de Toulouse et de pérenniser les 1000 emplois directs et indirects associés » et Xavier Aristi, Directeur Général de Kaiku Corporación Alimentaria de rajouter : « cette alliance va nous permettre de partager des synergies industrielles, commerciales et culturelles, pour être une société plus forte, avec de meilleures capacités de négociation, une meilleure productivité et une meilleure adaptation au marché ».

Yéo : le challenger innovateur
Un nouveau nom symbolisant la fraîcheur et la naturalité ainsi qu’un logo coloré et dynamique permettent à Yéo d’affirmer pleinement sa nouvelle identité.
Yéo fourmille d’ambitions, en consolidant son leadership en produits frais BIO et en se développant sur l’axe santé/bien-être : un choix éthique pris en pleine conscience des problématiques de consommation contemporaines.
Il lui tiendra également à coeur de toujours déployer de nouveaux procédés liés à l’innovation afin de se démarquer et d’être reconnu comme Le spécialiste des marques de distributeurs.
Un partenariat prometteur, une nouvelle stratégie, un nouveau nom : de nouvelles ambitions pour la filière Produits Frais du Groupe 3A.

La Direction Générale de l’Agriculture et du Développement rural de la Commission européenne lance un concours autour du nouveau logo biologique européen.

Les étudiants en art et en design des vingt-sept Etats membres sont invités à participer au concours européen du logo biologique de l’Union Européenne jusqu'au 25 juin 2009.
Le vainqueur verra sa proposition devenir le symbole officiel des produits biologiques dans toute l'Europe à partir de juillet 2010.
Le but étant de créer un logo astucieux, facilement repérable et reproductible sur tout type d'emballage pour aider les consommateurs à identifier les produits biologiques.

 

 

Un jury présidé par Rob Vermeulen, ancien président de la Pan-European Brand Design Association et composé de :
-  Erik Spiekermann, Professeur, docteur honoraire et Directeur de création allemand
-  Riitta Brusila-Räsänen, professeur en design graphique à l’Université de Laponie, Finlande
-  Szymon Skrzypczak, jeune designer polonais déjà primé dans un autre concours européen
-  Elisabeth Mercier, directrice de l’agence BIO en France,
-  Urs Niggli, directeur de l’Institut de recherche suisse en agriculture biologique (FiBL)
-  Tom Václavík, expert tchèque en marketing de produits biologiques et président de l’Association internationale des distributeurs de produits biologiques
-   Craig Sams, président de "Soil Association" au Royaume-Uni

sélectionnera les finalistes.

Les internautes membres de l'Union Européenne pourront ensuite voter pour élire les trois  vainqueurs, qui remporteront respectivement 6 000, 3 500 et 2 500 euros.

 

L'inscription au concours et ses modalités sont sur le site www.ec.europa.eu/organic-logo.

Déclaration commune de la FNSEA et DBV (Deutscher Bauernverband) du 7 mai 2009

FNSEA et DBV passent à l’action
La FNSEA et le DBV ont tenu une réunion commune à Berlin le 6 mai. Cette rencontre a été l’occasion de faire un point sur la conjoncture agricole : elle est préoccupante sur la quasi-totalité des marchés, entraînant des situations difficiles dans les exploitations avec des évolutions négatives du revenu.
La question laitière et la baisse très importante du prix du lait à la production ont été des moments forts de discussion au cours de cette réunion. Pour la France et pour l’Allemagne, principaux pays européens producteurs de lait, la FNSEA et le DBV estiment que désormais, les producteurs laitiers ensemble avec les transformateurs doivent renforcer leur position sur le marché pour surmonter la crise actuelle et préparer leur avenir face au désengagement des autorités publiques. Ainsi, les 2 organisations ont décidé de travailler sans délai pour mettre en oeuvre les bases d’une politique de filière reposant sur une contractualisation entre la transformation et la production, tant sur les questions de volumes que des niveaux de prix.

En tout état de cause, la FNSEA et le DBV estiment que la gravité de la situation laitière exige que les autorités européennes prennent les mesures qui s’imposent en actions sur le marché, à savoir restitutions, aides à l’utilisation, intervention…
Dans les prochaines semaines, les deux organisations vont se mobiliser pour que leurs gouvernements respectifs, les transformateurs et les distributeurs prennent conscience de l’ampleur de la crise et de l’urgence des mesures à prendre.

Une bonne nouvelle pour Le Fooding!
Suite à la commercialisation par Fleury Michon d'une gamme "Fooding Tentations", les deux inventeurs de la marque, Alexandre Cammas et Emmanuel Rubin, avaient porté plainte.
Déchus de leurs droits par la Cour d'Appel de Paris en octobre 2007, ils en ont retrouvé la propriété par décision de la Cour de Cassation le 17 mars dernier.
Désormais, les marques françaises et internationale FOODING sont à nouveau en vigueur et ont retrouvé leur pleine validité.
Par ailleurs, le Tribunal de Grande Instance de Paris a condamné, le 13 mars dernier, les sociétés Playmobil et OPHA pour contrefaçon de la marque française Fooding et concurrence déloyale.

Au palmarès des "Entreprises où il fait bon travailler" en France, 5 entreprises agroalimentaires, une industrie de produits grande consommation et un laboratoire pharmaceutique se placent parmi les 30 premières :

- Coca-Cola Services: 5ème place pour la proximité du Président avec ses collaborateurs.
- Groupe Danone (Siège) : 7ème place pour son engagement envers le bien-être de ses salariés : conférences santé, salle de sport...
- Pepsico France: 8ème grâce à sa hotline interne permettant d'être à l'écoute de ses collaborateurs
- Mars Chocolat: 10ème place car chaque salarié est considéré comme un Associé.
- Procter and Gamble (Siège) : 17ème pour ses valeurs d'intégrité et de confiance.
- Mc Donald's : 19ème, récompensé pour les aménagements spécifiques accordés aux étudiants (horaires, congé...) leur permettant de concilier cursus scolaire et job.
- Novo Nordisk : 21ème place pour ce laboratoire pharmaceutique qui mise sur l'écoute de ses salariés par diverses actions.

Cette étude est établie chaque année par Great place to Work à partir de questionnaires remplis par les salariés concernant l'ambiance de travail, la motivation des salariés et leurs relations avec l'encadrement.

L'intégralité du classement sur Le Figaro.

La 7ème Coupe du Monde du sandwich organisée par l'European Sandwich and Snack Show de Paris, a consacré un Britannique pour son sandwich composé de rosbif, de céleri rémoulade, de feuilles de salade, de confit d'ail et d'échalottes frites.
Le 2e prix a été décerné à une Belge pour son sandwich à base de magret de canard, tapenade de tomate, fromage de chèvres, salade et pignons de pin. Et le 3ème prix a récompensé un sandwich garni de dinde, de sauce au fromage blanc et à la ciboulette et de marrons et de pommes servis tièdes d'une Suisse.
Le jury a également décerné un prix spécial à la candidate française Laurence Simon pour la qualité nutritive de son sandwich à base de saumon fumé, de pousses d'épinards et de sauce raifort.

Vient de paraître : Les Céréales… à la folie ! 22 recettes à deux euros !

Manger sain, simple, rapide et pas cher ! Telle est la promesse du livret « Les céréales à la folie » qui propose 22 recettes à moins de deux euros par convive.
Bienvenue dans l'univers gourmand des céréales !
Farfales au pistou, croque italien, crémé de polenta à la sauge, crumble de courgettes aux flocons d’avoine et au parmesan, cookies aux pétales de maïs… autant de spécialités qui permettent de découvrir la richesse culinaire des produits céréaliers tout en faisant des économies : avec ces 22 recettes simples et délicieuses, vous ne déboursez pas plus de 2 euros par convive ! Sans compter que vous passez plus de temps avec vos invités qu’aux fourneaux car toutes ces recettes sont faciles et rapides à préparer. Alors à vos tabliers, prêts, cuisinez et bon appétit !

 

Les céréales… à la folie, 22 recettes à deux euros par personne
28 pages - 15,5 cm x 18,5 cm
2 € sur commande sur www.passioncereales.fr/publications

 

Discours de Jean-Michel Lemétayer lors de la soirée du 3 février 2009 au Salon des miroirs, communiqué par la F.N.S.E.A.
(Seul le discours prononcé fait foi)

Mesdames et Messieurs les Ministres,
Mesdames et Messieurs les Parlementaires,
Mesdames et Messieurs les Journalistes,
Mesdames et Messieurs les Représentants du monde agricole,
Chers amis,

Je suis particulièrement heureux de vous accueillir ce soir au Salon des miroirs, lieu emblématique de la haute couture, des défilés et de la mode… Quel meilleur endroit pour vous présenter la campagne de communication de la FNSEA justement sur des métiers à la mode !
Je suis également fier de vous parler de cette campagne dans un contexte marqué par des crises de toute sorte.
Notre volonté de mener à bien ce projet, est à mes yeux la preuve que, nous, responsables professionnels, croyons profondément à l’avenir de notre secteur.
Nous pensons fermement que l’agriculture est source de projets, d’opportunités et d’accomplissement pour les jeunes. Nous sommes convaincus que c’est une valeur sûre et durable de notre économie. Je répète souvent que la terre que nous cultivons n'est pas délocalisable.
Vous parler de ces métiers est un choix qui donne du sens à mon engagement dans le syndicalisme agricole. Il y a 35 ans, je commençais mon parcours et mon combat pour que demain des jeunes s’engagent dans notre secteur et en vivent dignement.

Les métiers de l’agriculture sont à la mode. Ils sont à la mode avec notre époque : l’esprit de responsabilité et le contact avec la nature en sont les symboles.
Ils sont enfin à la mode parce qu’ils offrent des débouchés concrets. En cette période de crise, ce n’est pas le moindre des atouts.
Je le rappelle, la production agricole représente 1million 600 mille actifs. Ce n'est pas rien ! Et si l'on parle de l'ensemble de la filière agricole, ce sont 3,2 millions d'hommes et de femmes qui travaillent dans notre secteur. Ils représentent 13% de la population active !
Bien sûr, l'agriculture comportera toujours un potentiel d'emplois saisonniers important, il y a aujourd'hui plus de 900 000 salariés saisonniers, mais de plus en plus nous recrutons des emplois permanents. Pour tenir compte des départs massifs à la retraite, mais surtout pour faire face à des besoins nouveaux sur les exploitations demandant des compétences toujours plus larges.
Biotechnologies, protection de l’environnement, nouvelles saveurs, énergies vertes, la liste est longue de ce que l’agriculture peut apporter en modernité, en utilité, mais aussi en termes d’emplois.
Il suffit d’aller dans nos exploitations pour prendre conscience qu’un agriculteur et les salariés qui l’accompagnent sont tous plus que des producteurs, ils sont chercheurs, protecteurs, comptables, géographes, météorologues et assurément bien d’autres fonctions encore.

Nous sommes face à une richesse d’emplois que nous devons faire découvrir.
Pour ce faire, il faut libérer les énergies et donner sa vraie valeur à l’agriculture et à ceux qui la font vivre. Ringarde et dépassée, l’agriculture est souvent
caricaturée, en dehors de toute réalité et en dehors de toute lucidité. Trop loin de la société de loisirs et pas assez fun ou branché, notre secteur n’a pas les faveurs de l’écume des choses.
Bien vivre, bien manger, bien boire… et je m’arrête là, ce n’est peut être pas moderne. Et pourtant, la qualité de vie, le fait de travailler avec les saisons, d’être au contact d’animaux attachants, ne sont-ils pas des éléments importants au moment de faire des choix de carrière et de vie ? J’ajouterai que bien des paysans sont des spécialistes de l’informatique et des nouvelles technologies, pas modernes donc… Je vous l’affirme, nos métiers et nos emplois sont tout simplement de qualité et cela est intemporel. L’emploi est au coeur de nos campagnes, au coeur de nos préoccupations.
Architectes de la ruralité, bâtisseurs de terroir, maçons de l’aménagement du territoire, nous avons vocation à voir l’agriculture en grand, la campagne en beau, l’emploi en force.

Pour tous ces objectifs et parce que nous avons envie de nous battre, un seul mot d’ordre : communiquer !
La communication n’est pas une politique, ce n’est pas seulement une stratégie, la communication c’est la mise en musique du travail réalisé et de la volonté affirmée. Longtemps, le monde paysan a considéré que la com c’était superficiel et inutile, pensant que la beauté des animaux et des cultures suffisait à se faire comprendre de tous. L’épisode de la vache folle a mis fin à cette histoire d’amour entre agriculture et société. Certes, les agriculteurs bénéficient toujours d’une côte de popularité à faire pâlir bien d’autres professions, mais nos pratiques sont souvent à tord décriées et nos emplois sont plutôt mal connus, voire méconnus.

La FNSEA a pris des initiatives. Cela va des opérations « Fermes ouvertes » pour les écoliers de CM1/CM2, à la présence dans des salons nationaux et régionaux. Notre présence ainsi au salon de l’éducation est un symbole de ce que nous voulons faire : parler aux jeunes, leur expliquer aussi souvent que possible que l’agriculture a un avenir et que cet avenir passe par eux.
Dans cette volonté, nous avons décidé il y a 6 mois de prendre une initiative forte et symbolique : lancer une campagne de communication globale afin de
sensibiliser cette jeunesse porteuse d’espoir. C’est une première pour un syndicat comme le nôtre. Une première que je n’hésite pas à qualifier d’heureuse. Oui heureuse ! Il ne faut pas avoir peur des mots. Une campagne que beaucoup attendaient.

Combien de mes collègues agriculteurs m’ont dit « il faut montrer que nous sommes modernes » « la télé nous abîme » « on ne nous comprend pas » « il faut des jeunes pour développer notre secteur ». J’espère de tout coeur qu’ils seront heureux de notre projet qui ici, au salon des miroirs, prend un relief, ou plutôt un reflet particulier. Il ne s’agit pas de nous regarder tel Narcisse mais d’aller au-delà du miroir, de nous faire comprendre… puisque nous sommes déjà appréciés.
L’agriculture est moderne et les visuels qui nous entourent dans cette salle sont là pour le prouver. Hier, les premiers spots télé ont envoyé un premier signal. Ce signal est fait pour durer 4 semaines. Mais nous devons toucher tout le monde dans l’intimité de ses choix médias.
Alors, à la télé s’ajoutera une présence sur les abribus, dans la presse quotidienne régionale, sur des panneaux autour du périphérique parisien mais aussi et surtout un site Internet pour l’emploi agricole des jeunes. Celui-ci a été lancé ce jour et nous lui souhaitons grand succès. Les jeunes et les moins jeunes pourront y trouver les réponses à toutes leurs questions en matière d’emploi agricole.

J’allais oublier notre traditionnel salon de l’agriculture où nos stands seront habillés de ces visuels que nous aimons tous déjà.
Enfin la presse agricole départementale bénéficiera elle aussi de ces visuels pour aller dans toutes les familles et dans toutes les fermes.
Comme vous pouvez le constater, nous n’avons pas fait les choses à moitié. Mais comment faire à moitié quand la jeunesse cherche sa voie. Les jeunes, ces pépites d’espoir disait Bernanos, doivent nous rejoindre. Nous avons besoin d’eux.
Mêlons nos talents et leurs espérances et nous aurons une agriculture qui, plus loin qu’un beau visage, aura le sourire en plus. Faisons tout pour nous
comprendre. Inventons-nous une culture commune.
Evidemment elle ne va pas de soi. Quand mon naturel est de parler de DPU, de CVO, d’AOC, de PAC, d’ICHN et autres PMTVA, le naturel des jeunes va vers le hype, le in, le branché et le fun. Grâce à cette campagne de communication nous avons la volonté de jeter des ponts pour nous rapprocher. Nous en avions déjà la volonté d’ailleurs mais il fallait cette envie de communication pour toucher une jeunesse qui rappe, qui kiffe et qui slame.

Chers amis, je souhaite ardemment que notre campagne vous touche et vous surprenne. Le rayonnement de la France par delà le monde est souvent dû à sa culture et à ses terroirs. Alors faisons en sorte, ensemble, que la France qui est un pays pétri de culture, soit encore plus épris d’agriculture. Au salon des miroirs, ici, brisons la glace. Ici, à Paris, montrons l’agriculture capitale. Cette campagne est comme le printemps je vous le dis, elle ravive les couleurs, les couleurs de la vie.

Je vous remercie.

Un nouveau parfum de chips a fait son apparition en Angleterre : l'arôme "écureuil cajun".
Cet arôme a été proposé par un jeune homme de 26 ans, Martyn Wright, lors du concours "Do us a flavour" (Créez-nous un nouvel arôme) organisé par la marque Walkers. Il s'est inspiré de la carte d'un restaurant dont le menu proposait de l'écueuil.
D'autres parfums inspirés de plats locaux ou exotiques ont été retenus : chili-chocolat, bhajis aux oignons, canard croustillant à la sauce hoisin, fish and chips et Petit-déjeuner de l'ouvrier en bâtiment (à base d'oeuf, bacon, saucisse et haricot blanc).
Les consommateurs britanniques peuvent élire leur parfum préféré, qui sera alors commercialisé de façon permanente, jusqu'au 1er mai.
Le parfum vainqueur rapportera 50 000 livres à son créateur et 1% des ventes du produit.

Un trafic de mozarella a été démantelé par les gendarmes d'Evry.

Depuis plus de deux ans, un réseau s'était organisé pour voler des palettes de mozzarella en sachets à l'entrepôt Stef de Bondoufle et les revendre à des pizzerias franciliennes.

Ce trafic, portant sur 30 tonnes de fromage, soit 300 000 euros, aurait été commandité par un gérant de pizzeria à Palaiseau.

La France adopte une nouvelle identité graphique pour ses exportations agroalimentaires.

Dans le cadre d’une délégation de service public du ministère de l’agriculture et de la pêche, Sopexa a développé cette nouvelle identité permettant de d'homogénéiser et de renforcer l'image de l'agroalimentaire français à l'étranger.

 

 

Le nouveau logo, référence à la Tour Eiffel, doté du slogan "Bon Appétit" s'accompagne d'un site web : www.franceagroalimentaire.com avec un annuaire des exportateurs français et d’une E-letter « French Food News », destinée aux médias étrangers.

Remise des prix IMAgri® lors de Terre Attitude.

Le samedi 13 Septembre 2008, lors de la finale de labour organisée par les Jeunes Agriculteurs (JA) dans le Maine et Loire, l’association IMAgri® a remis en compagnie de Carole Doré et de Gilles Amat, vices présidents des JA, les trophées IMAgri 2008.

Le prix IMAgri® Produit a été décerné au moelleux à la fraise « Révigny » de Thibaut GUILLAUME (55 800, Révigny). Le positionnement Marketing, le packaging et les perspectives de développement ont été jugés comme les points forts de ce produit.

Le prix IMAgri® Service a été décerné au « Cep Enchanté », parc à thème viticole mis en place par Jean-François et Juliette QUERON (17 490, Macqueville). La mise en scène dans le labyrinthe de vigne et la présentation du site Internet ont été, aux yeux du jury, les atouts de ce service.

Les prix IMAgri® consistent en la remise d’une dotation de 2000€ pour chacun des lauréats dans la perspective de l’amélioration et du développement de leurs innovations.

Thibaut GUILLAUME profitera de ce coup de pouce pour l’amélioration de la commercialisation de son produit, notamment au travers d’un stand plus attractif pour les salons. Jean-François et Juliette QUERON souhaitent, grâce à ce prix, mettre en place des voix off en anglais en complément de la mise en scène dans leur labyrinthe de vigne.

Deux prix spéciaux « Encouragement », attribués aux candidats arrivés en 2ème place, d’une valeur de 500€, ont permis de récompenser les innovations prometteuses en terme d’idées, mais dont la promotion reste encore restreinte. Le prix spécial encouragement produit est décerné à la crème de soin au lait d’ânesse d’Hervé ROISNE (49 230, St Germain Sur Moine). Le prix spécial encouragement service a été décerné au labyrinthe Zig Zag Parc de Laurent LAPIE (51 360, Val De Vesle).

 

Rappelons qu’IMAgri® est une association animée par des élèves ingénieurs de LaSalle Beauvais et dont l’objet consiste à récompenser les innovations marketing en agriculture. Il existe deux catégories de prix, un prix produit qui récompense l’innovation en terme de nature du produit mais également le packaging et la communication réalisée autour de ce dernier, un prix service qui permet de récompenser l’originalité et la relation clientèle.

L’équipe IMAgri® 2008 tient particulièrement à remercier l’ensemble de ces partenaires, le groupe Same Deutz-Fahr, le groupe Total, Mag Cultures, le Conseil Régional de Picardie, Terre-net media et bien entendu les Jeunes Agriculteurs avec lesquels IMAgri® a remis ces prix dans la bonne humeur et la convivialité.

L’édition IMAgri® 2009 s’apprête à redémarrer ; c’est pour les agriculteurs innovants, l’occasion de faire connaître leurs idées.

Association IMAgri - LaSalle Beauvais
Rue Pierre Waguet - BP 30 313
60 026 Beauvais Cedex
Contact presse : Guillaume ROCHER, 06 88 76 50 94
E-mail : imagri@asso.lasalle-beauvais.fr

Site Internet : www.imagri.fr

L'Agreste a publié son "enquête annuelle d'entreprise IAA" avec des résultats provisoires sur l'année 2007.

 

2007 est globalement une bonne année pour les IAA avec la meilleure progression du chiffre d'affaires et des exportations depuis 10 ans.

Le secteur agroalimentaire français (hors entreprises artisanales et tabac) représente :

- 2955 entreprises (supérieures à 20 salariés)

- 375 324 salariés

- 138 152 millions d'euro de chiffre d'affaires dont à 18.6% à l'export

 

Evolution du secteur par rapport à 2006 :

- Augmentation de 7.2% en valeur du chiffre d'affaires global, soit +2.6% à prix constants

- Augmentation de 10% du chiffre d'affaires à l'export

- Augmentation des investissements de 15%

- Diminution de 0.3% de l'effectif salarié au 31/12/2007

- Progression de la consommation française de 2.9%

 

L'intégralité du rapport est disponible sur le site de l'Agreste.

Les cahiers de l'industrie publient un dossier sur le nouvel essor de l'industrie agroalimentaire, consultable sur le lien suivant : http://www.industrie.gouv.fr/biblioth/docu/kiosque/cahiers/pdf/c124.pdf Cet article met en valeur le travail de la délégation interministérielle aux industries agroalimentaires et à l'agroi-ndustrie mise en place depuis deux ans sur les poinst suivants : - recherche et développement, avec la création de neuf pôles de compétitivité - maîtrise de la qualité des produits - soutien aux exportations - soutien financier aux PME-PMI - campagne de revalorisation du secteur pour faire face à la pénurie de main d'oeuvre

Jean-Luc Perrot, 42 ans, secondera Michel Pinel, Directeur du Pôle de Compétitivité agro-alimentaire Valorial, basé à Rennes (35). Mission : anticiper les marchés de demain En raison de son développement, le Pôle de Compétitivité agro-alimentaire Valorial renforce son équipe. Il donne essentiellement pour mission à Jean-Luc Perrot d'appréhender par des études marketing les marchés des entreprises que Valorial accompagne dans leur projet d'innovation. Jean-Luc Perrot servira l'ambition de Valorial qui veut mettre les marchés au coeur de sa stratégie. Valorial renforce sa compétence Par la venue de Jean-Luc Perrot, Valorial signifie sa volonté d'intégrer au profit de ses adhérents une connaissance développée des marchés des entreprises agro-alimentaires bretonnes, de leurs produits et de leurs filières. Les marchés, le moteur de Valorial Jean-Luc Perrot a été choisi parmi 80 candidatures de très bon niveau pour ses compétences et sa très bonne connaissance de la filière agro-alimentaire. D'une double formation de biologiste et d'économiste, il a travaillé successivement à l'ITAVI (Institut technique de l'aviculture), puis en qualité de consultant au sein d'un cabinet conseil spécialisé dans les produits de la mer, et ensuite, a été en charge de l'Observatoire des industries agro-alimentaires de Bretagne. Jean-Luc Perrot porte l'ambition de faire valoir et d'accompagner les acteurs du monde agricole et agro-alimentaire breton sur les marchés de demain.

Le 22 mai dernier, les instituts d'études, agences conseils, agences médias et prestataires ont été récompensés au cours de la soirée des Trophées Marketing Magazine. Parmi la centaine de participants, plusieurs innovations agroalimentaires ont été récompensées : - Landor a remporté le prix de la catégorie Design Produit et Packaging pour Essensis de Danone, devant CB'a pour Sucre Daddy. - Rouge pour Unilever est arrivé deuxième dans la catégorie Créativité médias. - Dans la catégorie Marketing événementiel, Le Fil pour Sodexho a gagné la deuxième place. Tous les résultats sont disponibles sur www.trophees-marketingmagazine.com.

DIANA INGREDIENTS, société bretonne spécialisée dans les additifs naturels à destination des industriels agroalimentaires, pourrait être racheté par le fond d'investissement AXA PRIVATE EQUITY pour un montant de 700 millions d'euros. Les deux autres prétendants : Montaigu et LBO France n'ayant pas été retenus. Après avoir été dans les mains de Paribas Affaires Industrielles, puis de BNP Paribas, DIANA INGREDIENTS appartenait à COGNETAS depuis 2004 et elle réalise 280 millions d'euros de chiffre d'affaires.

L'ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) a réélu Jean-René Buisson à sa Présidence pour les trois prochaines années. A 59 ans, cet ancien secrétaire général de DANONE est à la tête de l'ANIA depuis 2004.

Les campagnes virales gagnent le secteur agroalimentaire. Vous n'avez pas pu échapper aux spots publicitaires mystèrieux autour du Nouveau Président, judicieusement organisée par la marque PRESIDENT pour lancer son nouveau produit au moment des élections présidentielles : le camembert sous cloche saveur. La marque de légumes appertisés D'AUCY vient de lancer un mini site visant à réconcilier les enfants avec les légumes : Daucy Kid. Et COCA-COLA mise sur l'intéractivité pour sa prochaine campagne publicitaire aux Antilles. Le site www.cocavibe.com propose en effet un concours de création ouvert aux internautes antillais jusqu'au 25 juin pour dessiner et élire eux-mêmes les prochaines publicités.

L'AAPrA, Association Aquitaine de Promotion Agroalimentaire vient de lancer un site internet visant à faire connaître les entreprises d'Aquitaine au niveau national et international : flavours.events.aquitaine.fr Le site, disponible en plusieurs langues, propose entre autres l'agenda des salons agroalimentaires et rendez-vous d'affaires. le projet de promotion des produits d'Aquitaine 'L'Aquitaine, le goût du bonheur' est soutenu par le conseil régional à hauteur de 400.000 euros.

Un ouvrage vient de paraitre sur les dessous du packaging. How to create soulpackaging (Editions PC), écrit par Vincent Ferry, responsable packaging des produits laitiers de Danone, et l'agence de design Team Créatif, dévoile les secrets d'un emballage réussi, en terme d'innovation, d'impact et de fonctionnalité.

Le Ministère de l'Agriculture a publié hier, dans un communiqué, les modalités du contrat d'objectifs et de moyens établit avec l'AFSSA pour la période 2007 à 2010. Rappelant les trois domaines d'intervention de l'AFSSA : sécurité sanitaire alimentaire humaine, santé et bien-être des animaux; risques sanitaires et environnementaux, ce contrat définit 10 orientations stratégiques concernant la mise en oeuvre des missions et son efficacité ainsi que 50 objectifs à atteindre. Plus d'infos sur le site du Ministère : www.agriculture.gouv.fr

BAT, qui détient entre autres la marque de cigarettes Lucky Strike, serait également intéressé par le rachat du fabricant ALTADIS. BAF se serait associé aux fonds d'investissement CVC Capital, Cinven et PAI pour contrer l'offre de 11.5 milliards d'euros faite par IMPERIAL TOBACCO sur ALTADIS.

ALTADIS a rejeté l'offre de rachat de IMPERIAL TOBACCO de 11.5 milliards d'euros, sous prétexte qu'elle "ne reflète pas la valeur stratégique du groupe". Selon un journal espagnol, le groupe ALTADIS envisagerait plutôt un partenariat avec ALTRIA (qui détient Philip Moris) pour racheter des actifs ce même IMPERIAL TOBACCO.

Décidément, le milieu agroalimentaire inspire les cinéastes autrichiens! Après Notre Pain Quotidien, sorti en salle le 14 mars, un deuxième film/documentaire sur le même sujet, est attendu dans les salles le 25 avril 2007 : We feed the World, réalisé par Erwin Wagenhofer. A nouveau un film choc sur les rouages de l'industrie agroalimenatire face à la mondialisation et à ses impératifs de productivité, chiffres et témoignages à l'appui, et ses conséquences : déforestation et aseptisation des aliments.

Le cigarettier ALTADIS a annoncé avoir reçu une offre de rachat de la part du britannique IMPERIAL TOBACCO pour un montant de 11.5 milliards d'euros.

Une grande première au cinéma et qui fera sans doute débat dans le milieu agroalimentaire : le film Notre Pain Quotidien. Il s'agit d'un documentaire autrichien réalisé par Nikolaus Geyrhalter qui, pendant 1h30 plonge le spectateur au coeur des productions agricoles et process agroalimentaires de grandes entreprises européennes avec une succession d'images 'choc' sans aucun commentaire ni musique. La bande annonce est disponible sur le site du film Notre Pain Quotidien, qui sort en salles le 14 mars.

Le solde du commerce extérieur des produits agroalimentaires sur 2006 atteint un excédent de 8,73 milliards. Un bon résultat pour la filière alors que le solde global des échanges en France accuse un déficit de 40 milliards d'euros.

L'Agropole, en partenariat avec OSEO Anvar, l’APCE, l’Ania, le Sial, Ipa et Ria organise la 14ème édition du Concours national de la création d’entreprises agroalimentaires, ouvert aux porteurs de projet de création et de développement d'entreprises de production, process, ou services agro-alimentaires. Les candidats peuvent s'inscrire sous deux catégories : - Création d’Entreprises - Développement (ouverte à des PME agro-alimentaires de moins de 3 ans) avant le 30/04/2007, date limite de dépôt des dossiers. Pour tout renseignement et modalités d'inscription : www.agropole.com

NATUREX, fournisseur d'extraits naturels auprès des industries agroalimentaires, annonce son rachat de la société italienne HAMMER PHARMA pour un montant de 10 millions d'euros. HAMMER PHARMA, société milanaise, produit des extraits de plantes à destination des industries pharmaceutiques et nutraceutiques. Avec 50 salariés, elle traite 3 500 tonnes de plantes par an et réalise 7.8 millions d'euros de chiffres d'affaires.

Le Gouvernement se félicite des 224 projets déposés dans la cadre de l'appel à candidatures pour le financement des projets de recherche et développement des pôles de compétitivité. Ces projets vont faire l'objet d'une évaluation avant de désigner en mars 2007 ceux sélectionnés pour obtenir un financement public. Le Gouvernement rappelle que ces appels à candidature sont ouverts à l'ensemble des secteurs économiques, industriels (y compris agro-alimentaires) ou de services et s'appuient sur les mêmes critères : - Retombées en termes de création de valeur, d'activité économique et d'emplois ; - Contenu technologique innovant ; - Développement de nouveaux produits ou services pouvant être mis sur le marché à court ou moyen terme ; - Cohérence des projets avec la stratégie de développement du pôle. Les projets doivent être approuvés par les pôles de compétitivité auxquels ils se rattachent, avant leur dépôt. Un nouvel appel à candidature se cloturera fin avril 2007 avec résultats en juillet.

Pascal Breton, actuel directeur général délégué, est nommé Directeur Général du groupe BONGRAIN. La société reste présidée par Alex Bongrain.

Les résultats de novembre viennent confirmer la tendance à la hausse de l'excédent du commerce extérieur agroalimentaire. Sur les 11 premiers mois de 2006, cet excédent se solde à 8.095 milliards d'euros, soit 1 milliard de plus qu'en 2005. Sur le mois de novembre 2006, les exportations s'élevent à 4.054 milliards d'euros et les importations à 3.013 milliards, toutes deux en augmentation par rapport à novembre 2005.

L'INAO (Institut National des Appellations d'Origine) a fusionné avec la Commission Nationale des Labels et Certifications, ce 1er janvier, pour devenir l'Institut National de l'Origine et de la Qualité (le sigle restant INAO). Pourvu de quatre comités et d'un conseil, il s'occupera de l'ensemble des dossiers relatifs aux signes de qualité : AOP et AOC, Label Rouge, IGP, AB et Spécialité Traditionnelle Garantie. Il supervisera également les agrémentations des organismes de contrôles de ces signes qualité.

Une première à San Francisco : pour promouvoir les produits laitiers, une agence de publicité a eu l'idée de répandre une odeur de cookies chauds sur les panneaux publicitaires de plusieurs abris de bus. L'agence de publicité Goodby, Silverstein & Partners, a réalisé cette initiative au moyen de bandes adhésives collées dans les abris de bus.

L'Aapra, Association Aquitaine de PRomotion Agroalimentaire, vient d'inaugurer son site internet gastronomie.aquitaine.fr En vue de communiquer en France et à l'international sur l'étendue et la qualité de la gamme de produits régionaux, ce site présente l'ensemble des produits alimentaires en provenance d'Aquitaine par type de produits, par zone d'origine ou par signe de qualité (Label Rouge) ainsi que de nombreuses fiches recettes.

En vue de l'entrée dans l'Union Européenne, en janvier prochain, de la Roumanie et de la Bulgarie, les experts vétérinaires européens ont voté l'interdiction pour ces deux pays d'importer sur le marché européen des produits alimentaires d'origine animale fabriqués avant cette date d'adhésion. Par ailleurs, plusieurs entreprises alimentaires roumaines devront se mettre aux normes de sécurité sanitaire d'ici 2009 avant de pouvoir commercialiser leurs produits dans l'UE.

Le 21ème Salon International de l’ALimentation a ouvert ses portes hier à Villepinte en la présence du ministre de l’Agriculture Dominique Bussereau. Les deux thèmes majeurs abordés au SIAL sont la mondialisation et l’alimentation de demain. Ainsi, cette année marque la présence en force de la Chine avec 70% d’exposants supplémentaires par rapport au salon de 2004 et l’entrée de nouveaux pays comme le Cameroun, le Nigeria, le Malawi… Les 5 cinq pays les plus représentés au SIAL sont la France, l'Italie, l'Espagne, la Belgique, la Chine. Concernant les nouvelles tendances alimentaires, elles sont orientées sur 4 principaux secteurs : - les produits laitiers, notamment la voie du soja dont les ventes ont progressé de 11% depuis un an: * Paille composée de granules aromatisés (fraise, chocolat, caramel…) à teneur en sucre réduite à tremper dans un verre de lait * Petits pots de glace au soja (sans OGM) SOJASUN de Rolland SA qui seront commercialisés en mars 2007 - les boissons * HINT, boisson sans calorie, à base d’eau aromatisée aux arômes naturels (pomme, menthe…), sans sucre, édulcorant, conservateur ni aucun additif (Etats-Unis) * Vin conditionné en petite brique de 25 cl idéale pour une consommation nomade - les aliments santé (produits végétaux, produits allégés…): Dans l’optique de la lutte contre l’obésité, les industriels rivalisent d’inventivité pour multiplier les moments de consommation de fruits et légumes en développant des produits ludiques et faciles à préparer. * Yaourt YOMO Frutta & Verdura, yaourt allégé mariant un fruit et un légume (parfums : farise / tomate, mangue / citrouille…) commercialisé en Italie * Tapenade revue sous forme de pétales croquants (olives noires ou vertes) pour agrémenter les apéritifs ou les préparations culinaires développée par le Moulin du Calanquet - le snacking et les prêts à consommer: Le changement des modes de vie favorisant la prise de repas destructurés et rapides, les produits de snacking et les préparations micro-ondables ont toujours un bel avenir, d’autant plus lorsqu’ils ciblent une alimentation équilibrée. * The Tube, développé par Enivrance : une gamme de quatre minis sandwichs présentés en tube plastique. * Crumble salé surgelé à base de viande, légumes et fromage (poulet curry, jambon emmental…), prêt en 7 minutes de la société Jean Routhiau A noter également, pour la première année, la présence de représentants du commerce équitable : Max Havelaar, Alter Eco, Ethiquable et Méo.

En affichant un chiffre d’affaires de près de 140 milliards d’euros, l’industrie agroalimentaire française confirme sa place de premier secteur industriel devant l’automobile et continue sa progression. En effet, après une hausse de 3.3% du chiffre d’affaires au premier trimestre, celui-ci a à nouveau augmenté de 4% au deuxième trimestre. Cette hausse bénéficie notamment aux secteurs des corps gras (7.2%), des boissons (13.6%) et des produits de la mer (7.3%). Par contre, le secteur de la volaille ressent toujours les conséquences de la grippe aviaire avec une production en baisse de 17%. Les exportations agroalimentaires poursuivent également leur progression : l’excédent du commerce extérieur affiche une hausse de 923 millions d’euros sur les 8 premiers mois 2006 par rapport à la même période de 2005, grâce notamment aux vins, eaux en bouteille et sucre. Avec 28.7 milliards d’euros d’exportations alimentaires, la France reste ainsi le premier pays exportateur devant les Etas-Unis. Cependant, 14% seulement des industriels agroalimentaires travaillent à l’international, notamment les grands groupes (Danone, Nestlé,…) qui bénéficient des structures et moyens nécessaires pour promouvoir leurs produits à l’étranger. Pour aider l’ensemble du secteur à l’export, l’Etat prévoit une augmentation de 21% du bugdet 2007 dédié à la promotion internationale des produits. Sur le plan social, le secteur agroalimentaire pâtit toujours d’une image négative en terme de conditions de travail et depuis 2003, le nombre de salariés est en baisse (de 428500 à 419982 l’année dernière). Alors qu’il reste déjà 10 000 emplois non pourvus dans ce secteur, 20% des entreprises agroalimentaires prévoient des recrutements dans les prochains mois afin de compenser les nombreux départs en retraite. Il s’agit essentiellement de postes d’ouvriers, ouvriers spécialisés et techniciens. Une préoccupation qui a été abordée mardi dernier au cours des premières assises agroalimentaires organisées par l’ANIA (Association Nationale des Industries Agroalimentaires) avec pour thème "Forces et devenir de l'industrie alimentaire: un atout pour la France" en présence des Ministres de l’Intérieur, de l’Agriculture, du Commerce et de la Santé. A cette occasion, l’ANIA publie le sondage réalisé sur ‘L’industrie alimentaire française vue par ses consommateurs et ses principaux acteurs’ sur son site http://www.ania.net/fr/ Et, industriels, n’oubliez pas qu’avec 2 000 000 de pages vues par mois, AGROJOB est un outil performant et totalement gratuit pour vous permettre de trouver le profil adéquat !

Pour la première fois en France, des contrefaçons de produits alimentaires ont été découvertes par les douaniers du port de Marseille. La saisie concerne 65 688 bocaux de salades méchouia à base de tomates, piment et ail, en provenance de Tunisie. Ceux-ci portaient une fausse étiquette de la marque RIAD, appartenant à la société tunisienne SORICA, qui a porté plainte. La cargaison, estimée à 240 000 euros sera détruite.

Bon résultat pour le commerce extérieur agroalimenatire français: il affiche une hausse de 31% pour atteindre 4,2 milliards d'euros sur le premier semestre. Ce résultat représente une hausse de 1 milliard d'euros par rapport à la même période en 2005. 80% des exportations sont à destination de l'Union Européenne. Les boissons sont en grande partie responsables de ces chiffres : +40% de ventes de champagne, +20% sur les vins. A noter également les bons résultats des exportations d'alcools tels que la vodka et le cognac notamment aux Etats-Unis et en Asie, les eaux aromatisées et le sucre. Les secteurs en recul restent la volaille (-27%), fortement pénalisé par la grippe aviaire, les petfood (-25%) et le lait (-20%).

Le Ministère de l'Agriculture vient de publier les résultats provisoires de la situation de la filière agroalimentaire pour 2005. Par rapport à l'année précédente, le rapport souligne : - une progression de 0.9% en valeur du chiffre d'affaires des entreprises agroalimentaires (contre +2.5% pour le reste des industries) - une hausse de la consommation des ménages de 1.1% - une hausse des exportations de 3.4% - une stabilité des investissements - une diminution des embauches de -1.5% (soit 5000 emplois) Le détail du rapport est consultable sur agreste.agriculture.gouv.fr

Internet est devenu un outil incontournable de marketing pour les grandes marques agroalimentaires. Ainsi, après UNILEVER qui a consacré un site à sa marque Carte d'Or, NESTLE lance le portail www.nestle.fr/marques/glaces/, entièrement dédié aux glaces du groupe. D'abord développé comme moyen de valoriser le produit auprès du consommateur (fiches produit, recettes...), ce type de site est un bon moyen d'attirer l'attention du consommateur sur les produits qui arriveront prochainement dans ses rayons. Selon les résultats de ce site, NESTLE envisage même de développer un forum pour être en prise directe avec les avis des consommateurs.

L'heure est aux guides alimentaires. Alors qu'en France l'ouvrage des Docteurs COHEN et SEROG - Savoir Manger, le guide des aliments 2006-2007 - montre du doigt un certain écart du point de vue qualité nutritionnelle entre les produits vendus en GMS et ceux issus du hard-discount, la Belgique et le Canada se penchent aussi sur leurs assiettes. Le Ministre de la Santé belge vient de publier son Plan National Nutrition Santé qui s'appuie sur une enquête menée auprès de 3 200 consommateurs. Ce plan propose des mesures pour lutter les problèmes de surcharge pondérale, de dénutrition et de carences alimentaires et présente notamment un logo en forme de pommes pour repérer les produits répondant à ces mesures. Au Canada, une nouvelle version du guide alimentaire prévue pour l'automne prochain proposera une réduction des portions pour contrer le manque d'activité grandissant de la population.

Un rapport publié par la City University de Londres pointe du doigt les principales entreprises agroalimentaires mondiales qui, selon elle, "ne prennent pas assez la santé au sérieux". Le but de ce rapport était d'analyser si les intervenants agroalimentaires (industrie, grande distribution, restauration) ont tenu compte des recommandations publiées par l'OMS en mai 2004. Le rapport de ces chercheurs se veut alarmant, notamment pour la grande distribution, secteur le moins engagé sur ce point. Parmi les entreprises analysées (Ahold, Aldi, Burger King, Cadbury Schweppes, Carrefour, Coca-Cola, Compass, ConAgra, Danone, Ito-Yokado, Kraft, Kroger, Masterfoods, McDonald's, Metro, Nestlé, PepsiCo, Rewe, Schwarz, Sodexho, Tesco, Tyson, Unilever, Wal-Mart, Yum): - 11 intégrent la santé comme valeur interne - 10 ont réduit le taux de sel de leurs produits - 8 ont réduit les acides gras trans de leurs produits - 5 ont réduit le taux de sucre de leurs produits - 4 ont réduit le taux de graisses de leurs produits - 2 ont diminué la quantité de leurs portions

Un plan sectoriel export agroalimentaire a été défini par le Ministre de l’agriculture et de la pêche et le Ministre déléguée au commerce extérieur pour donner un cadre stratégique aux exportations françaises et ainsi enrayer leur diminution. Ce plan recense 12 pays vers lesquels le développement parait le plus prometteur: Algérie, Allemagne, Chine, Corée du Sud, Espagne, Etats Unis, Inde, Italie, Japon, Pologne, Royaume Uni et Russie. Ainsi le plan propose un appui pour favoriser les exportations vers ces pays au travers d'un soutien financier et d'un accès facilité (barrières tarifaires et sanitaires) à ces marchés.

Le mois de février a vu le trafic sur les sites emploi chuter de 7,60% en moyenne. Un résultat à relativiser, février étant amputé de 3 jours par rapport à janvier ! Certains sites font fi du calendrier et ont réussi à augmenter leur audience. Parmi ces exceptions, Agrojob.com affiche une hausse de son trafic de 2,57%. Il conserve sa 11ème place avec 166 369 visiteurs uniques certifiés par Xiti. 1 anpe.fr 2 keljob.com 3 regionsjob.com 4 apec.fr 5 directemploi.com 6 studyrama.com 7 iquesta.com 8 lesjeudis.com 9 ouestfrance-emploi.com 10 cv.com 11 agrojob.com 12 easy-cv.com 13 super-secretaire.com 14 officiel-interim.com 15 lerucher.com Retrouvez le classement complet sur Focus RH

L'ANIA organise les premières Assises de l'industrie agroalimentaire le mardi 10 octobre 2006 au Louvre. L'occasion pour tous les acteurs de la filière de faire le point sur les évolutions à venir. Un site leur est consacré : www.ania-assises.fr

Jean Marc BOURNIGAL vient d'être nommé Directeur de la DGAL (Direction Générale de l'Alimentation). Sophie DE VILLERS succède à Philippe MAUGUIN à la tête de l'INAO (Institut National des Appelations d'Origine). Ce dernier rejoindra la Direction Régionale et Interdépartementale de l’Agriculture et de la Forêt d’Ile-de-France cet été.

Aujourd'hui, c'est vendredi: dites stop aux E-mail!! Une récente étude montre qu'en Angleterre, l'E-mail est le moyen privilégié de communciation même au sein d'une entreprise : il est plus facile d'envoyer un E-mail que de traverser le couloir pour communiquer avec son collègue. De là à accuser l'E-mail de favoriser l'embonpoint, il n'y a qu'un pas... C'est pourquoi, l'association anglaise Sport English, incite à mettre en place "l'e-mail free Friday" (vendredi sans e-mail). A défaut de faire diminuer la balance, ce jour sera au moins l'occasion d'un peu plus de "contact humain" entre collègues...

Après l'Angleterre et le Portugal, la Belgique va voir fleurir cet hiver des abribus pour le moins originaux... En effet, ils ont pour particularité de propager des parfums, diffuser de la musique par appui sur une touche ou encore modifier les couleurs de l'affiche selon le moment de la journée. Une bonne aubaine pour les industriels de l'agroalimentaire qui pourront désormais attirer le passant grâce à l'odeur de leurs produits. Ces nouveaux supports publicitaires misant sur l'interactivité avec le consommateur sont développés par JCDecaux et offrent de nouvelles perspectives au marketing.

Alors que l'activité avait cessé depuis le début de l'année, l'usine ALTADIS (ex-Seïta, située à Lille, vient de fermer définitivement ses portes. Cette fermeture fait suite à la délocalisation de la production de cigarettes en Espagne, décision prise alors que l'usine lilloise était rentable.

Des rumeurs courent sur le rachat du fabricant de cigarettes franco-espagnol ALTADIS par le britannique IMPERIAL TOBACCO. Le groupe baserait son siège en Suisse.

Une nouvelle directrice vient d'être officiellement nommée à la tête de l'AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments): Pascale BRIAND succède ainsi à Martin HIRSCH. Paul VIALLE conserve son poste de Président du conseil d'administration de l'Afssa.

Le commerce extérieur agroalimentaire français est en excédent de 8 milliards d'Euros en 2004, mais marque une baisse de 6.3% par rapport à 2003. Les exportations de produits agroalimentaires ont diminué de 0.9% alors que les importations sont en légère hausse: +0.6%. Le recul des exportations concerne essentiellement les ventes hors Union Européenne sur des produits tels que le vin, le sucre, les fruits, les légumes et la viande.

La Bretagne candidate à un pôle de compétitivité agroalimentaire Si le dossier est validé, le gouvernement accordera un package d'aides comprenant subventions, allégements de charges et exonérations fiscales. La candidature répond à un projet gouvernemental visant à spécialiser les régions et développer les synergies entre entreprises, chercheurs et collectivités. Le dossier agroalimentaire breton est porté par l'Abea (Association bretonne des entreprises agroalimentaires), le Conseil régional, les chambres de commerces et les centres de recherche. La candidature est axée sur quatre domaines de spécialité : biotechnologie alimentaire, ingrédients, nutrition/santé et technologie laitière. Les entreprises agro-alimentaires bretonnes emploient environ 47 000 salariés. Elles réalisent un chiffre d'affaires de plus de 13 milliards d'euros.