Le 02/10/2009 16:13:00
Nestlé vient d'annoncer l'ouverture, à l'été 2010, d'un nouveau centre d'innovation à Orbe, réalisé par Cereal Partners Worldwide, sa joint-venture avec General Mills Inc.
Ce centre sera dédié à la recherche et au développement des céréales pour petit-déjeuner, notamment d'un point de vue nutritionnel.
Le 23/09/2009 13:06:00
L'AFSSA a publié sur son site le résultat d'une grande étude sur les habitudes alimentaires des Français.
L'étude INCA 2 (Etude Individuelle Nationale des Consommations Alimentaires) a été réalisée auprès de 4000 participants de tous âges en France métropolitaine entre fin 2005 et avril 2007.
Elle permet de faire un point sur la consommation des Français, leur niveau d'activité physique, leur santé et de souligner les évolutions depuis la précédente étude INCA menée entre 1998 et 1999.
Globalement, les adultes consomment chaque jour 2.8 kg d'aliments et boissons répartis en glucides (44%), lipides (39%) et protéines (17%).
Les grandes évolutions de consommation depuis 1999 concernent la diminution des produits sucrés, de la viande et des abats ainsi que l'augmentation des desserts glacés.
Les détails de cette étude sont consultables sur le site de l'Afssa.
Le 25/05/2009 18:04:00
Communiqué de l'Association Française des Diététiciens Nutritionnistes du 15 mai 2009
Dénutrition et approche comportementale de l’alimentation : Parce que manger est le premier mode d’entrée en relation avec le monde.
Les journées d'Études de l'AFDN se dérouleront à Reims les 5, 6 et 7 juin 2009. Différents thèmes d’actualité seront abordés et parmi eux, deux temps forts :
La dimension psychosociale et l’approche comportementale de l’alimentation.
« Parce que manger est le premier mode d’entrée en relation avec le monde, la dimension psycho affective est toujours en jeu dans la question alimentaire », explique Katryn Driffield, psychologue psychanalyste à Reims. Dans son expérience, elle constate qu’en matière de régime, et même si cela évolue, la dimension humaine de la personne échappe trop souvent à la compréhension des soignants qui vont se focaliser sur l’équilibre alimentaire. « La culture reste encore une culture comptable », regrette-t-elle. Un point de vue que nuance Isabelle Parmentier, Présidente de l’AFDN, « Si cela était vrai il y a 25 ans, aujourd’hui les diététiciens ne se contentent plus de compter les calories. Nous avons conscience que le problème ne se résume pas à la seule éducation alimentaire ».
Il n’existe pas de solution miracle
La personnalité humaine est complexe et multiple. Or manger est bien plus que se nourrir et maigrir n’est pas toujours sans risque. Tous ceux qui prennent en charge des sujets en surpoids, quelque soit leur domaine de compétence, s’accordent sur un point : il n’existe pas de réponse miracle à la question de l’obésité. Le défaut d’organisation de la prise en charge, le manque de formation transversale face à un problème de santé publique conduit trop souvent les patients dans un parcours chaotique qui laisse la place à des dérives commerciales aux conséquences néfastes voire dangereuses.
La dénutrition à l’hôpital La dénutrition est un phénomène fréquent à l’hôpital et pourtant c’est une thématique qui peine parfois à intéresser les professionnels de santé. « L’alimentation et la nutrition hospitalières ne semblent pas avoir été jusqu’à présent une priorité des acteurs hospitaliers », notait le Pr Bernard Guy-Grand dans un rapport qui fut rendu public en 1997. Or dix ans après, les choses ont peu évolué. «Cette situation n’a pas beaucoup changé, déplore-t-il aujourd’hui, car on recense encore à l’hôpital 30% de patients dénutris ou à risque de l’être ».
Même si certains hôpitaux se sont dotés de CLAN (Comité de Liaison Alimentation-Nutrition), si la formation des diététiciens a évolué, leur nombre reste insuffisant. C’est pourquoi dans les hôpitaux Florence Rossi, porte parole de l’AFDN, affirme que « Le diététicien est un professionnel de santé dont le rôle va bien audelà du contrôle qualité des plateaux repas. Pour elle, sa place est essentielle auprès des patients car le diététicien est un expert incontournable dans la prise en charge des troubles nutritionnels ».
La dénutrition n’est pas une fatalité mais pour la traiter encore faut-il la diagnostiquer La recommandation de la HAS en avril 2007 insiste sur l’importance du dépistage qui est la première étape de la prise en charge. Le diététicien a un rôle clé dans ce dépistage car sa connaissance de l’alimentation lui permet de faire un bilan de l’état nutritionnel, d’évaluer les besoins et les apports réels du patient.
Depuis octobre 2008 l’ADLF (Association des Diététiciens de Langue Française) est devenue l'AFDN, Association Française des Diététiciens Nutritionnistes. Le terme "nutritionniste", n’étant à ce jour qu’un qualificatif, peut être utilisé en accompagnement du titre de "diététicien", en référence à l’Art.4371-2 du Code de la Santé Publique.
Le 12/05/2009 20:05:00
Une grande étude scientifique sur nos habitudes alimentaires vient d'être lancée sur Internet à l'initiative du Professeur Serge Hercberg, président du comité de pilotage du PPNS.
L'objectif de NutriNet Santé est de suivre sur 5 ans, les comportements alimentaires d'un demi-million d'internautes français afin d'étudier leur impact sur les problèmes de santé.
Les volontaires pour participer à ce programme seront recrutés uniquement sur Internet grâce à une grande campagne publicitaire nationale.
Dans un premier temps, les participants devront remplir cinq questionnaires (durée : 2 heures) détaillant leur alimentation, mode de vie, état de santé, etc... puis s'acquitter d'un questionnaire mensuel d'une vingtaine de minutes.
Les premiers résultats devraient apparaitres dèe le 6ème mois de cette étude dont le coût (5 millions d'euros sur 5 ans) est financé par le ministère de la Santé et la Fondation pour la recherche médicale.
Toutes les infos sur le site : www.etude-nutrinet-sante.fr
Le 10/05/2009 18:42:00
Présentation du livre Les Règles d'or de l'alimentation naturelle de Jean-François Olivier
L’alimentation naturelle, ou saine, doit faire face à de nombreux préjugés. Se préoccuper de son alimentation ne signifie pas "faire un régime", et produits bio ne riment pas avec "produits chers".
Jean François Olivier met à terre les préjugés de l’alimentation naturelle : "le plaisir est la 1ère règle d’or de l’alimentation". L’auteur fait un constat général de l’alimentation d’aujourd’hui et de son évolution. Il met en avant les quatre grands types de nutriments (macro-nutriments) indispensables à notre organisme : les glucides (ou sucres), les protéines, les lipides (ou graisse), les minéraux, et détaille pour chacun, leurs apports, leurs carences, et les aliments dans lesquels ils sont le plus présents. Il fait cohabiter ces macro-nutriments avec des micro-nutriments (les vitamines et les oligoéléments) tout aussi essentiels à notre physiologie. A l’aide d’exemples précis, Jean François Olivier offre un descriptif détaillé de chaque substance et l’impact qu’elles ont sur l’organisme.
Il porte également une attention particulière aux grand types d’aliments de notre vie (les légumes, les produits animaux, les céréales, les fruits). Pour chacun d’entre eux, il en vante les mérites. Il détaille les différents modes de consommation et de conservation, afin de profiter au mieux de leur saveur.
"Saviez-vous par exemple que la pomme est anti-rhumatismale, drainante, antiseptique pour l’intestin et anti-cholestérol ? Qu’Il est préférable de choisir des variétés rustiques de préférence à la Golden ?"
Enfin, il met en avant les diététiques spécifiques pour les femmes enceintes, le nourrisson, l’enfant de 1 à 12 ans, l’adolescent et le sportif. " Par exemple, chez le nourrisson, jusqu’à 6 mois, les légumes se mélangent à l’eau du biberon, en commençant par une cuillère à soupe dans 50 g d’eau, puis après 6 mois, on passe à la cuillère avec des légumes simplement écrasés" . Il lève le voile sur le jeûne, en faisant disparaitre ces tabous. "Une expérience a été réalisée, avec 20 sportifs suédois ayant entrepris de marcher pendant 500 kms, en dix jours, sans aucune autre alimentation que quelques jus de fruits et de l’eau. A l’arrivée, ils avaient perdu entre 5 et 7 kg, mais aucun ne se plaignait de troubles ou de fatigue excessive. Tous, au contraire, se sentaient débordants d’énergies."
Enfin, en conclusion à son ouvrage, Jean François Olivier aborde des suggestions de menus en fonction des quatre saisons afin de montrer les infinies possibilités qui s’offrent à nous.
Les Règles d'or de l'alimentation naturelle
Auteur : Jean-François Olivier
Editions : Encre
Date de parution : 4 Mai 2009
Prix : 19 Euro TTC - 18.01 HT - TVA 5,5%
Format : 150 x 240
Pages : 254
ISBN : 978-2-35847-003-2
L’auteur
Jean-François Olivier, expert de la nutrition humaine au naturel, à écrit de nombreux ouvrages sur des sujets connexes : " Oligoéléments et vitamines ", " Les compléments nutritionnels ", " Recettes végétariennes", " Huiles et matières grasses", " La nutrithérapie" (tous ces livres, ont été publiés aux Editions Encre)
L’éditeur
Encre est une maison d’édition de la société Multimed Publishing SAS
Le 21/04/2009 14:12:00
BIOPHYTIS : Science et Santé par Nature !
BIOPHYTIS est une entreprise innovante franco-brésilienne qui étudie, produit et commercialise des ingrédients actifs innovants et naturels à destination des industriels agroalimentaires, pharmaceutiques et nutraceutiques.
Son savoir-faire scientifique et son goût pour l’innovation ont permis à cette start-up, de développer une gamme d’ingrédients santé conventionnels mais également bio certifié Ecocert.
Dans le cadre de son programme d’innovation, BIOPHYTIS a développé différents ingrédients santé exclusifs, certains ayant fait l’objet d’un dépôt de brevet prouvant ainsi leur caractère scientifique unique.
- Arolia™ est un extrait d’acaï titré à 2% de proanthocyanidines, polyphénols appartenant à la famille des flavonoïdes qui vont agir comme capteurs de radicaux libres, réduire la peroxydation lipidique et ainsi diminuer le stress oxydatif. Arolia™ agit donc comme protecteur cellulaire.
- La bixine est un caroténoïde qui possède également des propriétés antioxydantes et photoprotectrices. Bixilia™, développé par BIOPHYTIS est titré à 8% de bixine, concentration permettant à cet extrait d’avoir des propriétés particulièrement intéressantes au niveau de la peau en réduisant le stress oxydatif généré par les radiations UV.
- En ce qui concerne la digestion active, BIOPHYTIS propose notamment un extrait de Monolia™, titré à 0.1% de boldine. Cet alcaloïde possède des activités cholérétiques et cholagogues. Ces actions, associées à un effet relaxant sur les muscles intestinaux, ont un effet bénéfique sur la digestion et améliorent l’ensemble du transit intestinal.
- Enfin l’extrait Quinolia™ exclusif BIOPHYTIS, titré à 1% de phytoecdysones, diminue les risques de développer une obésité et un diabète notamment en réduisant la masse grasse au profit de la masse musculaire.
Tous ces extraits se présentent sous forme de poudre et peuvent être incorporés à des compléments alimentaires ou à des aliments santé.
Cette gamme offre des bénéfices santés variés tels que vitalité, digestion, gestion du poids, anti-âge et antioxydant.
BIOPHYTIS travaille en étroite collaboration avec d’importants centres de recherche, tels que L’Université Pierre et Marie Curie et l’AgroParisTech, dans le cadre de son programme de recherche concernant le syndrome métabolique.
Grâce à son expertise reconnue dans l’étude des bénéfices santé des principes actifs issus des plantes de la biodiversité amazonienne, BIOPHYTIS offre à ses différents partenaires, la possibilité de développer des aliments fonctionnels.
Cette entreprise innovante propose également, via sa branche Biophytis Nutrex, une offre de services adaptée, permettant la co-réalisation des différentes étapes d’un projet de développement en nutrition santé : réflexion stratégique, choix d’un ingrédient actif, pilotage des tests d’efficacité biologiques et/ou cliniques.
BIOPHYTIS met ainsi tout son savoir-faire scientifique et innovant au service de ses clients et partenaires.
Venez découvrir toute la gamme d’ingrédients innovants et naturels BIOPHYTIS sur www.biophytis.com
Le 19/04/2009 14:21:00
Communiqué du 1er avril 2009 de ALCIMED
Les probiotiques, un marché qui s’essouffle ?
Le marché mondial des probiotiques est en forte croissance depuis le début des années 2000. Cette dynamique est notamment soutenue par le lien de plus en plus explicite existant entre alimentation et santé. Cependant, de nouvelles réglementations sont récemment venues ébranler le marché. La société de conseil ALCIMED fait le point sur le marché des probiotiques et analyse les perspectives d’évolution et les stratégies d’innovation qui pourront aider à maintenir leur rythme de croissance.
Connus depuis des centaines d’années notamment à travers les produits laitiers fermentés traditionnels comme le kéfir, les probiotiques connaissent un véritable regain d’intérêt de la part des industriels depuis quelques années. Alors qu’en 2003, ce marché pesait à peine 6 milliards d’euros, il a quasiment doublé en 5 ans pour atteindre 10 milliards d’euros en 2008, soit environ 10% du marché mondial des aliments fonctionnels.
Les probiotiques ont été définis en 2001 par la FAO (Food and Agriculture Organization) et l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) comme étant « des micro-organismes vivants (appelés aussi bactéries ou ferments) qui, lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates, produisent un effet bénéfique pour la santé de l’hôte ». De plus, pour conserver l’appellation “probiotiques”, les micro-organismes visés doivent survivrent au passage dans le tube digestif et être capables d’y proliférer. Il est aussi reconnu qu’ils doivent être consommés régulièrement et en quantité suffisante pour être bénéfiques pour l’organisme.
Les stars des probiotiques sont les produits laitiers : l’an dernier, ils pesaient près de 80% des produits lancés sur les marchés américain et européen (Source : GNPD-Mintel). Les fabricants de produits laitiers ont en effet été les pionniers en la matière : après Yakult et son Lactobacillus casei Shirota au Japon dans les années 50, on a vu apparaître des produits comme Activia (ex-Bio, Bifidobacterium ActiRegularis), ou encore LC1 de Nestlé (Lactobacillus johnsonii) et Actimel (Lactobacillus casei defensis) de Danone. Portés par la tendance des produits allégés et des nouveaux modes de consommation (nomadisme…), les probiotiques se sont aussi diversifiés. Ils ont ainsi rejoint les linéaires des crèmes glacées (Lucerne Food aux USA) et des fromages (Millán Vicente au Portugal, Spar Vital en Hongrie). Désormais, ils sortent même totalement de l’univers des produits laitiers et débarquent dans les produits céréaliers (céréales du petit déjeuner Very Berry Granola de l’américain Total Granola, barres céréalières Alpen chocolat/fudge de Weetabix en Grande-Bretagne), les boissons (boisson énergisante Emminent de Emmi en Suisse et au Portugal) et même dans les pâtes à tartiner comme le miel « Probiotic Honey » du britannique Daflorn.
« Il faut s’attendre à ce que les probiotiques poursuivent la conquête d’autres familles de produits, notamment les snacks ou le chocolat. De nouvelles technologies, en cours d’études, pourraient même permettre d’aller plus loin dans la déclinaison de produits, grâce à des probiotiques encapsulés ou thermorésistants par exemple », explique Fabienne Cottret, consultante agroalimentaire chez ALCIMED.
L’intérêt grandissant des consommateurs pour des produits “bons pour la santé” est l’un des moteurs de la croissance du marché des probiotiques. Ils surfent en effet sur la tendance des années 2000 qui consiste à relier alimentation et bénéfices santé. Les industriels ne s’y trompent pas et mettent notamment en avant leur action bénéfique sur le système digestif et l’équilibre de la flore intestinale. Ainsi, en 2008, sur les 708 nouveaux produits contenant des probiotiques répertoriés pour les USA et l’Europe, 339 mettaient en avant cet avantage.
Plus récemment, on a vu arriver de nouvelles revendications. Citons la capacité de certaines bactéries à stimuler le système immunitaire (97 nouveaux produits sur 708 en 2008) ou encore le rôle de ces microorganismes sur la santé du système cardiovasculaire ou sur le cerveau et le système nerveux. De ce côté, les possibilités sont encore multiples et les futures revendications pourraient concerner le rôle de ferments sur la santé bucco-dentaire, les cancers du colon et même les affections cardio-vasculaires.
Nouvelles déclinaisons de produits, nouvelles technologies en cours de mise au point et multiplications des revendications devraient permettre au marché des probiotiques de poursuivre sa croissance. Cependant, depuis 2007 et l’arrivée de nouvelles réglementations sur les allégations, notamment en Europe, la croissance s’est ralentie : l’augmentation du nombre de lancements de produits a été inférieure à 3% entre 2007 et 2008 alors qu’entre 2004 et 2007, les lancements progressaient à un rythme de 11% par an. Entre autres explications figure l’adoption d’une nouvelle réglementation européenne (Règlement N°1924/2006, 1er juillet 2007) qui impose que toutes les allégations soient évaluées scientifiquement. Elle prévoit également qu’à compter de 2011, les produits affichant des allégations devront satisfaire aux profils nutritionnels. Ces profils nutritionnels, en cours de définition, prendront en compte les quantités de certains nutriments (matières grasses, acides gras trans et saturés…), l’importance de l’aliment dans le régime alimentaire en général, la composition nutritionnelle globale de l’aliment et la présence de nutriments reconnus scientifiquement comme
ayant un effet sur la santé.
Tout ceci rend plus difficile l’obtention des autorisations. Les industriels devront apporter des preuves extrêmement solides pour pouvoir apposer une allégation sur le packaging d’un nouveau produit. Résultat : à l’horizon 2013, on estime que le marché pèsera à peine plus de 12 milliards d’euros, soit une croissance annuelle réduite à seulement 4%.
« Le marché des probiotiques est à un tournant stratégique. Face au contexte réglementaire qui se durcit, les industriels devront redoubler d’efforts pour leurs prochains lancements. On peut aussi se poser la question de la répercussion sur les prix et donc, sur le consommateur », conclut Marion Meslin, responsable de missions chez ALCIMED.
ALCIMED (www.alcimed.com) est une société de conseil et d’aide à la décision spécialisée dans les sciences de la vie (santé, biotech,
agroalimentaire), la chimie, les matériaux et l’énergie ainsi que dans les industries de hautes technologies.
La vocation d’ALCIMED est d’accompagner les décideurs dans leurs choix de positionnement et leurs actions de développement. Ses consultants, par un travail d’investigation auprès des meilleurs spécialistes et experts dans le monde, apportent une analyse et des réponses pragmatiques aux questions soulevées par les décideurs (responsables R&D, responsables marketing & ventes, directions générales, directeurs d’unités).
ALCIMED s’appuie sur une équipe de 160 ingénieurs de haut niveau, répartis par secteur et capables de prendre en charge des missions extrêmement variées depuis des sujets marketing & ventes (études de marché, ciblage de nouveaux besoins, positionnement d’un nouveau produit…) jusqu’à des problématiques stratégiques (stratégie de développement, recherche & évaluation de cibles d’acquisition, organisation d’une activité…).
La société dont le siège est à Paris, est présente à Lyon et à Toulouse et a ouvert trois filiales en Europe (Espagne, Allemagne, Suisse).
Le 10/04/2009 23:12:00
Communiqué de Presse : Les Français et leur alimentation
Cabinet d’études CEGMA TOPO, publié le 24 mars 2009
42,2% DES FRANÇAIS REFRACTAIRES A LA CONSOMMATION DE PRODUITS ALLEGES
Le début d’année a été marqué par des initiatives visant à sensibiliser les Français à leur alimentation : recommandations de l’Institut National du Cancer, amendement de V. Boyer sur l'achat de fruits et légumes avec des tickets-restaurant, … CEGMA TOPO a recueilli l’avis des Français* quant à leurs croyances et pratiques alimentaires. (* Note méthodologique : Enquête réalisée par Cegma Topo sur un échantillon de 308 individus, âgés de 16 à 67 ans. Cette étude a été menée en ligne du 26 février au 2 mars 2009.)
42,2% des Français réfractaires à la consommation de produits allégés et light.
Les rayons de nos magasins se sont remplis de produits allégés et light. Souhait des industriels de lutter contre l’obésité des Français ou simplement volonté de toucher davantage de consommateurs soucieux de leur apparence ? Quoi qu’il en soit, 42,2% des Français considèrent que les produits allégés et light sont à exclure, éviter ou à ne consommer qu’occasionnellement.
30,5% des Français s’estiment mal informés sur la nutrition et la santé.
Ces derniers déclarent recevoir des informations nombreuses, vagues et contradictoires à ce sujet. De façon paradoxale, ils invoquent également un manque d’information (notamment d’informations accessibles à tous, de données précises sur les ingrédients, …).
Concernant les acteurs de l’équilibre alimentaire, 74,7% des Français estiment que les industriels ne font pas suffisamment d’efforts et devraient en faire davantage pour les aider à mieux se nourrir. Les distributeurs devraient également s’investir plus pour 66,9% des Français.
Achat direct aux producteurs : un retour aux sources pour 49% des Français.
A l’avenir, 49% des Français pensent acheter de plus en plus de produits directement aux producteurs.
Actuellement, ils sont déjà 67,9% à s’approvisionner, ne serait-ce qu’occasionnellement, de cette manière. Les opinions vis-à-vis de ce mode d’achat sont positives : outre l’argument du goût, 81,5% des Français pensent que les produits y sont meilleurs pour la santé et pour 53,6% des Français, sont moins chers.
« Notre étude révèle que les Français ont intégré au moins une des règles alimentaires de base.
70% essayent de les respecter même si cela n’est pas toujours possible. Un défi à relever pour les acteurs de l’alimentaire. » conclut Claire CERTENAIS, Directrice de Clientèle CEGMA TOPO.
Pour de plus amples informations sur ces résultats ou pour recevoir le rapport d’étude, merci de prendre contact avec :
Contact Presse : Claire CERTENAIS
c.certenais@cegma-topo.fr Tel. 01 42 33 24 24 ou 03 20 91 33 33
Le 02/03/2009 21:17:00
Communiqué de l'AFDN : Association Française des Diététiciens Nutritionnsites
Manger Bi..o, manger bi..en ?
De plus en plus de consommateurs soucieux d’une alimentation plus saine, choisissent les produits Bio pour leurs vertus nutritionnelles. Toutefois, même s’ils contiennent moins de pesticides, les bénéfices santé des produits issus de l’agriculture biologique ne sont pas scientifiquement démontrés.
L’Association Française des Diététiciens Nutritionnistes (AFDN) rappelle que « manger Bio ne signifie pas nécessairement manger équilibré ».
Depuis quelques années, de plus en plus de français font le choix d’une alimentation issue de l’agriculture biologique. Ces consommateurs optent pour les produits Bio dans le but de préserver leur santé et leur sécurité. « Les personnes que nous rencontrons en consultation expriment leur inquiétude de s’empoisonner
avec une alimentation « polluée », et revendiquent leur envie de « manger sain » » explique Florence Rossi, Diététicienne, responsable de la communication à l’Association Française des Diététiciens Nutritionnistes (AFDN).
Attention cependant à ne pas se leurrer sur les bénéfices santé de ce mode d’alimentation : « Manger Bio ne signifie pas nécessairement manger équilibré et on peut se nourrir de façon équilibrée Bio ou pas Bio. Avoir le souci d’une alimentation saine, implique de s’attacher à varier les aliments, à préférer les fruits et légumes aux produits gras et sucrés, à diminuer le sel » poursuit cette spécialiste de la nutrition.
Une réglementation très encadrée
L’agriculture biologique est un mode de production très encadré et réglementé par des organismes certificateurs. Elle exclut tout produit chimique de synthèse, les pesticides, les engrais chimiques, se démarquant ainsi de l’agriculture conventionnelle. En France, ce mode de production n’est pas encore très
développé et il concerne moins de 10% de l’agriculture. Tout produit « issu de l’agriculture biologique » est contrôlé par des organismes certificateurs.
Le label AB, qui garantit l’origine Bio, permet aux professionnels, qui le désirent, de faire reconnaître le mode de production biologique de leurs produits et guide les consommateurs par une identification visuelle aisée.
Même si les prix ont baissé, ces produits restent chers car le rendement est plus faible et la régulation de la production en fonction des demandes du marché est moins simple, entraînant plus de pertes.
Les produits Bio se trouvent dans toutes les catégories d’aliments et même les boissons, comme le vin. Les produits animaux (viande, poisson) ou dérivés (oeufs, laitages) sont garantis Bio si l’animal est nourri avec des aliments provenant d’une terre cultivée de manière biologique.
Moins de pesticides mais plus de microbes Les bénéfices santé d’une alimentation Bio ne sont pas scientifiquement démontrés. Ainsi, concernant les apports en vitamines ou minéraux, les résultats sont contradictoires selon les études car les teneurs sont variables en fonction de la qualité et de la nature du sol. S’ils contiennent moins de pesticides, on note un plus grand nombre de contaminations par différents microbes ou champignons car ils ne subissent pas de traitements antifongiques et donc les produits Bio se conservent moins longtemps.
Quoiqu’il en soit, qu’ils soient bio ou pas, les produits frais ne doivent pas se garder trop longtemps si on veut préserver la qualité des vitamines en particulier la vitamine C qui s’oxyde facilement.
Les repères de l’équilibre alimentaire (Cf. PNNS)
1. Viande, oeuf, poissons : 1 à 2 fois par jour
2. Lait, laitages, fromage : 3 portions par jour
3. Féculents, pomme de terre, pain, légumes secs, céréales : à chaque repas
4. Fruits et légumes : 5 portions par jour
5. Produits sucrés : à consommer avec modération
6. Matières grasses (huile, beurre, crème, …) : à limiter
7. Sel : à limiter
8. Eau : quotidiennement, en moyenne 1l à 1l500 par jour
Le label Agriculture Biologique (ou label AB) est un label de qualité français, créé en 1985, et défini par le ministère français de l’agriculture qui en est aussi propriétaire. Il concerne les produits agricoles et les denrées alimentaires. Ce label est promu par l’Agence française pour le développement et la promotion de l’agriculture biologique (Agence Bio).
Le label Agriculture Biologique garantit :
• Que l’aliment est composé d’au moins 95 % d’ingrédients issus du mode de production biologique.
• Le respect de la réglementation en vigueur en France.
• Que la certification est placée sous le contrôle d’un organisme agréé par les pouvoirs publics français,
répondant à des critères d’indépendance, d’impartialité, de compétence et d’efficacité.
Le 27/02/2009 09:21:00
L'enseigne de distribution Leclerc s'est engagée à améliorer la qualité nutritionnelle de ses produits marque Repère d'ici 4 ans.
Sa charte d'engagement, approuvée par le PNNS2, prévoit sur près de 4000 produits :
- la réduction de la teneur en sucres ajoutés : 12% dans Les desserts lactés, de 5 à 10% dans Les biscuits et pâtisseries
- la réduction de la teneur en lipides : 15% dans les plats cuisinés et snacks apéritifs, de 5 à 10% dans les barres de céréales
- la réduction de 20% du sodium (sel) dans ses plats complets
Le groupe rejoint ainsi l'enseigne Casino et les entreprises Danone, Unilever, St-Hubert, Orangina-Schweppes, Marie, Paul et la filière Blanc-Bleu-Coeur dans leur quête d'une meilleure qualité nutritionnelle.
Le 20/10/2008 19:32:00
Les microalgues : la stratégie d’innovation durable de ROQUETTE
Une nouvelle filière au service de la nutrition et de la santé
Le groupe ROQUETTE souhaite aujourd’hui consolider son implantation sur le secteur de la nutrition et de la santé en diversifiant son activité. Il participe
ainsi à la création d’une filière européenne spécialisée dans les microalgues dont il est le porteur du projet : le programme ALGOHUB™.
Ce consortium réunit industriels et centres de recherche et de formation afin de faire progresser les connaissances et d'améliorer de manière efficace la
production de microalgues. Labellisé par deux pôles nationaux de compétitivité, ce programme est validé par l’établissement public d’Etat OSEO.
Fort d’un savoir-faire et d’une expertise reconnus, le groupe ROQUETTE souhaite aujourd’hui consolider son implantation sur le secteur de la nutrition et de la santé en diversifiant son activité.
Les microalgues : un secteur peu développé en Europe
Parce que l’alimentation est au coeur de nombreuses problématiques de santé publique (maladies chroniques, surpoids, obésité, carences alimentaires…) et que le désir de santé de la société va croissant, sur fond de vieillissement de la population et de carences alimentaires, ROQUETTE a choisi de se positionner sur un secteur encore peu développé en Europe : l’utilisation des microalgues à des fins de nutrition, santé, pharmaceutique, cosmétique, ou encore aquaculture.
Les moyens de la diversification
Pour devenir un acteur innovant dans le domaine des microalgues, une ressource naturelle renouvelable, le groupe ROQUETTE s’est fortement impliqué pour assurer le succès de ce nouvel axe stratégique :
• ROQUETTE a racheté en janvier 2008 la société BPS, Bioprodukte Prof. Steinberg (basée en Allemagne), dotée d’un solide savoir-faire dans la culture des microalgues à des fins alimentaires et qui utilise le plus grand photobioréacteur en eau douce du monde, une technique de culture propre et sécurisée.
• ROQUETTE participe à la création d’une filière européenne spécialisée dans les microalgues, dont il est le porteur du projet : le programme ALGOHUB™.
Une technologie propre pour une innovation durable
Parce que le développement durable, conciliant économie, social et respect de l’environnement, est au coeur de ses valeurs d’entreprise, ROQUETTE a choisi une matière première renouvelable, les microalgues, exploitées par un outil de production, le photobioréacteur, qui garantit une absence de contamination extérieure. Une technologie « propre », inédite en Europe et dans le monde, à échelle industrielle… pour une innovation durable.
ALGOHUB™ : labellisé par deux pôles de compétitivité et validé par OSEO
Labellisé par deux pôles nationaux de compétitivité : le Pôle «Nutrition Santé Longévité» et le Pôle « Filière produits aquatiques », le programme ALGOHUB™ a été validé par l’établissement public d’Etat OSEO, ce qui permettra d’accélérer le processus d’innovation.
Ce consortium réunit 14 partenaires (industries, centres de recherche et de formation, PME, startup, instituts) afin de faire progresser les connaissances et d'améliorer de manière efficace la production de microalgues. Réputés pour leur savoir-faire technologique et leurs connaissances scientifiques, ces partenaires apporteront une expertise de pointe dans des secteurs clés : pharmacologie, cosmétologie, biotechnologies marine, génie cellulaire, dépollution, aquaculture, extraction de composés d’actifs, nutrition humaine, nutrition animale, plasturgie, séparation/connaissance et maîtrise de la lumière...
Le montant du programme ALGOHUB™ s’élève à 28,4 millions d’euros et 9,7 millions d’euros de subventions et aides remboursables.
« Fidèle à ses valeurs d’innovation, ROQUETTE aspire à devenir un précurseur, en permettant de faire mieux connaître le potentiel inexploré des microalgues et en contribuant à lever les obstacles technologiques qui freinent encore son développement », précise Marc Roquette Président-directeur général du groupe ROQUETTE. « Les microalgues sont un marché riche de promesses, qui ne demande qu’à faire ses preuves. Avec l’implication de nos 250 chercheurs et techniciens et l’aide de nos partenaires réunis au sein du programme ALGOHUB™, ROQUETTE a à coeur de relever ce défi ».
Plus de renseignements sur le site : www.algohub-roquette.com
Le 12/12/2007
Le 15/11/2007
Le 08/11/2007
Le 19/09/2007
Le 08/07/2007
Le 01/06/2007
Le 24/05/2007
Le 19/04/2007
Le 30/03/2007
Le 01/03/2007
Le 28/02/2007
Le 28/02/2007
Le 27/02/2007
Le 07/02/2007
Le 06/02/2007
Le 05/02/2007
Le 14/12/2006
Le 14/11/2006
Le 27/09/2006
Le 18/09/2006
Le 27/06/2006
Le 14/06/2006
Le 15/05/2006
Le 28/04/2006
Le 25/01/2006
Le 29/11/2005
Le 08/11/2005
Le 10/09/2005
Le 21/05/2005
Le 06/04/2005
Le 19/03/2005